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Description: Waste from the nopal plant and other vegetable matter will be used to generate electricity at the Nopal Collection Centre and treatment plant in Mexico, thanks to the start-up Suema. Suema claims that the biogas resulting from this treated waste will be capable of generating 240 kWh of electricity: allowing a marketplace at Milpa Alta to become self-sufficient. The start-up estimates that the initiative would enable the Milpa Alta district to save more than $4,200 per month on energy costs and $5,677 on the cost of transporting waste to landfill. The compost produced by the treatment of nopal waste will be offered to the market stall holders, and be used to create a garden on the roof of the marketplace. Following successful demonstration at a pilot unit in Queretaro, Suema’s treatment plant will be inaugurated in January 2016, and the technique has potential applications in numerous locations such as malls, restaurants, hotels, industrial canteens and corporate offices.
Maturity: Pilot.
The project’s needs: Financing.
Why do we love it: The spiky cactus can also be used to produce biogas!
By the end of this year, the Centro de Acopio de Nopal (Nopal Collection Center) in the borough of Milpa Alta will be able to generate its own electricity from the nopal (Opuntia cactus) waste and other plant waste, once the waste treatment plant installed by Suema is operational. Suema is a technology company founded by Jahir Mojica and a group of UNAM engineers.
In an interview, he explains that in the initial phase, with proper separation of waste, the resulting bio-gas can be used to generate 240 kWh per day, which would make the market electrically self-sufficient and would save the borough more than 72,000 pesos a month in energy costs and more than 96,000 pesos a month in the transport of the five tons of waste sent to the Bordo Poniente rubbish dump.
« The plan is to lower consumption by at least 50% and remove the cost of waste management, » states the CEO of the microenterprise. After five months in operation, he will unveil the treatment plant in 2016 to officials and entrepreneurs, with the hope that this technology will be used in other markets in the capital.
Milpa Alta was chosen because « it is the borough that is best at separating its waste. They’re doing things properly and they don’t get rewarded for it, so this is a kind of justice. Furthermore, the market only gets in ‘fair trade’ products, which are sold directly, without middlemen. It’s an ambitious goal, but we hope that Milpa Alta will be a gateway to the rest of Mexico City for this type of technological project. »
Using the waste is the planned second phase. The compost resulting from the treatment will be offered to the nopal producers and will be used in the market itself to « green it up »: the aim is to make the most of flat roofs and walls to make beautiful gardens and ecological areas; nice enough to attract a new type of customer that is not used to shopping in public markets.
The agreement was signed last November by Mexico City’s government, via the Secretariat of Science and Technology (Seciti), and the borough of Milpa Alta.
The project had an initial stage of « social intervention » or communication with the residents and the market’s board of directors, as well as a demo at Suema’s Querétaro plant. Each plant has a 20 year lifespan and the business model involves the sale and the preventive and corrective maintenance. The solution could also be adapted to shopping malls, restaurants, hotels, industrial canteens, corporate buildings and distribution centers which generate large amounts of organic waste.
Avant la fin de l’année, le Centro de Acopio de Nopal de la délégation mexicaine Milpa Alta pourra produire sa propre énergie électrique à partir de résidus de figuiers de Barbarie et d’autres végétaux, lorsque l’usine de traitement intégral de déchets organiques, installée par Suema, une entreprise technologique créée par Jahir Mojica et un groupe d’ingénieurs de l’UNAM (université nationale autonome du Mexique), sera opérationnelle.
Au cours de l’entretien, Jahir Mojica explique que lors de la première phase, quand une séparation appropriée des résidus est effectuée, on peut générer avec le biogaz qui en résulte 240 kilowatts heure par jour, ce qui permettrait au marché d’être autosuffisant en matière d’électricité et ferait économiser à la délégation plus de 72 000 pesos par mois en énergie et plus de 96 000 pesos par mois en transport des cinq tonnes de déchets envoyées vers la décharge de Bordo Poniente.
« L’idée, c’est de faire baisser cette consommation d’au moins 50% et de lui ôter le coût de la gestion des déchets » explique le directeur de la microentreprise, qui inaugurera en janvier 2016 l’usine de traitement, qui aura fonctionné au moins cinq mois, en présence des autorités et d’entrepreneurs, et espère pouvoir conduire ce type de technologie vers d’autres marchés de la capitale.
Le choix s’est porté sur Milpa Alta car « il s’agit de la délégation qui sépare le mieux ses déchets ; ils font bien leur travail mais ne reçoivent pas de budget pour cela. C’est en quelque sorte un acte de justice. De plus, le marché n’est ouvert qu’aux producteurs du commerce équitable qui vendent directement leur production, sans intermédiaires. C’est un objectif ambitieux mais nous voulons que Milpa Alta soit connectée à Mexico, grâce à ce type de projets technologiques. »
La seconde étape prévoit de tirer profit des résidus. Le compost qui résulte du traitement sera offert aux producteurs de figuiers de Barbarie et sera utilisé sur ce même marché pour le « reverdir » : on cherchera à utiliser les terrasses et les murs pour faire des jardins et des zones écologiques suffisamment attrayantes pour attirer également d’autres types de clients qui ne font généralement pas leurs courses sur des marchés publics.
L’accord a été signé en novembre 2014 et réunit le Gouvernement du District Fédéral, à travers le Secrétariat des Sciences et de la Technologie (Seciti) et la délégation Milpa Alta.
Le projet a débuté par une première étape d’« intervention sociale » ou de communication avec les vendeurs et le conseil d’administration du marché ainsi que par une présentation de l’usine que Suema possède à Querétaro. Chaque usine a une durée de vie de 20 ans, son modèle d’entreprise est la vente et la maintenance préventive et corrective. La solution pourrait également être adoptée par des centres commerciaux, restaurants, hôtels, restaurants d’entreprise, bâtiments d’entreprise et entrepôts qui génèrent de grandes quantités de déchets organiques.
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