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Santiago’s subway to run on sun and wind power
The construction of a solar power plant and a wind farm began earlier this year with the objective of powering the underground rail network of the Chilean capital, Santiago, for the next 15 years.
Daniel Fajardo Cabello, Pulso (Chile)
Read more on Les Echos (in French).
In mid-June, the Chilean president Michelle Bachelet signed the Paris Agreement, which promises a 30% reduction in Chile’s greenhouse gas (GHG) emissions by 2020.
To achieve this, the public sector has initiated several projects, one of which was announced by President Bachelet in May this year. Santiago Metro has signed an agreement with both the solar plant El Pelícano and the wind farm San Juan, which will be fully operational by 2018. The agreement will meet all the energy requirements for Santiago Metro through the Central Interconnected System (SIC).
The two projects combined involve a state investment of more than US $500 million. The issue is key in several respects. While the commitments of the Paris Agreement are currently in focus, the Chilean capital is midway through constructing two new subway lines, which will be ready between 2017 and 2018. In addition, one of the election pledges of the current administration is decongestion and reducing pollution in the city.
In recent years, Chile has become one of the countries with the greatest potential for solar energy in the world. Wind power also seems to be an increasingly strong option.
Several multinational players in the solar industry have established operations in the famous Atacama Desert, due to the high levels of solar radiation (over 1,200 w/m2).
It is estimated that in Chile there is 1.3 GW of electrical capacity in solar panels on a large scale (mostly in the north), generating a boom in the use of this technology.
According to the National Energy Commission (CNE), in January this year, plans for the construction of solar power plants in the Northern Interconnected System (SING) accounted for 37% of all power plant initiatives, followed by carbon (33%) and natural gas (20%).
“Both the Government and the private sector were excited by the initial goal of generating 25% of energy from NCRE (non-conventional renewable energy) sources by 2025 and we are working towards this quota very quickly”, says Peter Horn, CEO of Heliplast, a Chilean-German solar solutions company with more than three decades in the field.
In this context, El Pelícano (run by SunPower), located between the regions of Coquimbo y Atacama, will have a capacity of 110 MWp, which is equivalent to the electricity generation required to supply an average of 100,000 Chilean households. All of the energy generated by this plant will go to Santiago Metro. “In association with Total, SunPower is committed to the continual growth of the local solar industry, especially with the demand for solar renewable energy at a competitive cost”, assured Manuel Tagle, general manager of SunPower Chile.
For its part, the wind farm San Juan de Aceituno (owned by Latin American Power), to be built in the Freirina district of the Atacama region, will have a capacity of 185 MWp, and will allocate 15% of the energy it generates to the subway.
As a result, from 2018 the energy matrix of Santiago Metro will consist of 40% conventional energy (Chilectra), around 42% solar energy (El Pelícano) and 18% wind energy (San Juan Wind Farm). “While international experience has shown that several metro systems in the world have incorporated NCREs into their production process, Santiago Metro is a pioneer in incorporating such a magnitude of clean energy in its consumption matrix”, explained the state-owned metro.
Furthermore, in terms of actual impact, it is estimated that from 2018, the two new contracts will provide a countrywide emissions reduction of 130,000 tons of CO² per year, the equivalent of planting 7.8 million trees.
“Together, these contracts will enhance the sustainable development of the company from an environmental perspective. This will allow Santiago Metro to provide a stable and competitive price, which on average, considering 100% of the energy matrix, will remain below $100USD/MWh”, added Santiago Metro.
A la mi-juin, la présidente chilienne, Michelle Bachelet, a signé l’Accord de Paris sur le climat. Le Chili s’est engagé à réduire de 30 % ses émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2020.
Pour atteindre cet objectif, le gouvernement a lancé plusieurs projets, dont un annoncé par la présidente, elle-même, en mai dernier : le métro de Santiago a signé un accord avec la centrale solaire d’El Pelicano et la ferme éolienne de San Juan, qui seront toutes deux totalement opérationnelles en 2018. Cet accord couvrira les besoins énergétiques du métro par l’intermédiaire d’un Système Interconnecté Central.
Ces deux projets combinés représentent un investissement public de plus de 500 millions de dollars. Le gouvernement a saisi l’occasion : la capitale chilienne est bien avancée dans la construction de deux nouvelles lignes de métro, qui doivent être terminées entre 2017 et 2018. Et la décongestion et la réduction de la pollution de la ville constituent l’une des promesses électorales du pouvoir actuel.
Au cours de ces dernières années, le Chili est devenu l’un des pays ayant le potentiel le plus important au monde en matière d’énergie solaire. L’électricité d’origine éolienne semble aussi constituer une option des plus intéressantes.
Plusieurs acteurs internationaux du secteur solaire sont ainsi venus s’installer dans le fameux désert d’Atacama, en raison des niveaux élevés du rayonnement solaire (plus de 1200 W/m2).
On estime que le Chili dispose d’une capacité solaire de 1,3 GW grâce à l’installation à grande échelle de panneaux solaires (principalement dans le Nord).
Selon la Commission nationale de l’énergie, les prévisions de construction de centrales solaires représentent 37 % de tous les projets de centrales électriques, suivies par les centrales à charbon (33 %) et au gaz naturel (20 %).
« Le gouvernement et le secteur privé envisagent tous deux avec enthousiasme l’objectif initial qui est de générer 25 % de l’électricité à partir de sources ERNC (énergie renouvelable non conventionnelle) en 2025 et nous travaillons pour atteindre cet objectif très rapidement », indique Peter Horn, PDG d’Heliplast, une société germano-chilienne de solutions solaires, qui travaille depuis plus de trois décennies dans ce secteur.
Dans ce contexte, El Pelicano (exploité par SunPower), situé entre les régions de Coquimbo et d’Atacama, disposera d’une capacité de 110 MWp, soit la consommation électrique moyenne de 100.000 foyers chiliens. Toute l’électricité générée par cette centrale sera utilisée par le métro de Santiago. « En association avec Total, SunPower s’est engagé à la croissance continue du secteur solaire local, et, en particulier, à répondre à la demande d’électricité solaire renouvelable à un prix compétitif », a assuré Manuel Tagle, directeur général de SunPower Chile.
Pour sa part, la ferme éolienne de San Juan de Aceituno (propriété de Latin American Power), qui doit être construite dans le district de Freirina dans la région d’Atacama, aura une capacité de 185 MWp et fournira au métro 15 % de l’électricité produite.
Par conséquent, à partir de 2018 le mix énergétique du métro de Santiago sera constitué de 40 % d’électricité conventionnelle (Chilectra), d’environ 42 % d’électricité d’origine solaire (El Pelicano) et de 18 % d’électricité d’origine éolienne (ferme éolienne de San Juan). « Bien que l’expérience internationale ait montré que plusieurs systèmes de métro ont incorporé des renouvelables dans leur processus de production, Santiago est pionnier dans ce domaine par la part d’électricité « , estime le représentant du réseau public de métro.
En termes d’impact réel, à partir de 2018, ces deux nouveaux contrats permettront une réduction des émissions nationales de CO2 de 130.000 tonnes par an, équivalente à la plantation de 7,8 millions d’arbres.
« Ceci permettra au métro de Santiago de disposer d’une énergie à un prix stable et compétitif. En effet, celui-ci restera inférieur à 100 USD/MWh en moyenne, si l’on prend en considération la totalité de la matrice énergétique. «
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